28 juillet 2009
Le livre de ma mère
Les poètes qui ont chanté la noble et enrichissante douleur ne l’ont jamais connue, âmes tièdes et petits cœurs, ne l’ont jamais connue, malgré qu’ils aillent à la ligne et qu’ils créent génialement des blancs saupoudrés de mots, petits feignants, impuissants...